MEMBER. I am a little new ◇ J'ai posté : 9 ◇ Pseudo : soon ◇ Célébrité : emma stone ◇ Crédits : shyia ◇ Age : vingt-six ans ◇ Métier : journaliste ◇ Statut civil : célibataire | Sujet: (M/LIBRE) RYAN GOSLING Mer 20 Nov - 16:16 | |
| Aiden Prénom Nom
J'ai actuellement trente ans. C'est d'ailleurs depuis le date de naissance à Chester's mill que j'ai vu le jour pour la première fois. Mais ce n'est pas tout, je suis à Chester's Mill depuis trente ans. C'est surtout les femmes qui m'attirent, je suis même célibataire. Tous les jours je bouge beaucoup, c'est bien pour ça que je suis garagiste/mécanicien. On dit souvent que je suis travailleur, joviale, drôle, honnête, loyale, impulsif, franc. Puis pour finir, il faut que vous sachiez, je suis votre groupe.
L'histoire est complètement libre, cependant il faut savoir que sa femme est morte depuis plusieurs années (voir ma fiche), qu'il a un cercle d'amis assez restreint, sans doute car depuis la mort de sa femme il s'est un peu renfermé ... Elena Fitzgerald ◇ Ils ne se connaissent que depuis quelques jours. Aiden a tout de suite volé au secours de la jeune femme. Il l'aime bien, même si elle n'est clairement pas dans son elements. Elle vit chez lui depuis son arrivée. Il aime bien son côté souriant et s'attache chaque jour un peu plus. Célibataire depuis le décès de sa femme, il a toujours refusé de s'intéresser à d'autres femmes. Pourtant, Elena à ce petit je ne sais quoi, qui pourrait tout faire changer. - Spoiler:
Putain de merde ! Je m’acharnais sur mon backberry depuis maintenant vingt minutes à la recherche de réseau. Malheureusement, aucunes barres ne semblaient vouloir s’afficher. Perché sur mes talons hauts, j’essayais tant bien que mal de retourner à ma voiture. Je venais de m’arrêter au bord de la route, un voyant étrange rouge, inconnu au bataillon, venait de s’afficher et, le GPS m’indiquait de m’arrêter, la seconde suivante, je n’avais ni GPS, ni téléphone. Je marchais donc sur le bord de la route, plein de boue, quand finalement mon talon céda, ce qui me fit plier le genou trop fort et, la couture de la jupe de mon tailleur gris se déchira, dévoilant une partie de ma cuisse. Alors ça, c’est le pompon. Je soufflais, ouvris la porte de ma voiture et, m’installa au volant. Alluma le contact, le voyant était encore allumé, j’éteignis le contact, attendis quelques secondes et, retenta l’expérience, pas de changement. J’ai bien crû que j’allais me mettre à pleurer à cet instant précis. Pourquoi tu me fais ça maintenant ? Non, je ne suis pas folle, bien que je parle à ma voiture. Un camion s’arrêta à ma hauteur et, un jeune homme baissa sa vitre. Ca va mademoiselle ? Besoin d’un coup de main ? J’arquai un sourcil. Non, tout va bien, vous être bien aimable. Je vais simplement repartir. J’allumais le contact et, démarra la voiture en trombe. Voyant ou pas, il était hors de question que je reste une seconde de plus dans ce trou paumé. Mais, au bout de trois minutes ma voiture s’arrêta brutalement, dans un grand bruit. Je replaçais une mèche pour me donner de la contenance, alors que le jeune homme arrivait au pas à ma hauteur. J’ai l’impression que vous avez un problème. Je ne répondis pas et, lui fis un sourire hypocrite. J’ai un garage, je peux vous aider je pense. Et, avant que je ne réponde, il avait déjà passé la main à l’intérieur de ma voiture et, soulevé la manette pour ouvrir le capot. Non, mais tout va bien je vous assure. Je ne vais pas très loin, à peine vingt kilomètre, je vais appeler un taxi. Je jetais un regard autour de moi. Ou, prendre un car ? Ma voix était montée d’une octave. Pour tout dire, je commençais un peu à paniquer. Le moteur est mort. Il s’essuya les mains sur son jean. Charmant. Murmurais-je. Ecoutez de toute façon, vous ne pourrez pas aller bien loin à cause du dôme. Du quoi ? Le dôme, vous n’avez pas écouté les infos ? C’est à dire que je ne compte pas m’éterniser ici, donc les informations locales … Il m’expliqua rapidement la situation. C’est une blague sans doute ? Je me mise à rire. C’est une blague pour les visiteurs c’est ça ? Ou peut-être la télé ? Je me mis à tourner la tête dans tout les sens, à la recherche d’une caméra, d’un habitant, n’importe quoi qui me confirmerait qu’il était en train de délirer. Ce n’est pas une blague, non. Je vous dépose en ville ? Je le toisais un moment. Ecoutes mon grand, je ne sais pas à quoi tu carbures ? Héro, crack ? Enfin, bon ça tourne pas rond, donc je ne vais certainement pas monter dans VOTRE voiture. Il se mit à sourire. Ce qui m’irrita. Il se dirigea vers sa voiture, alluma la radio et, monta le son. Je menais une main à ma bouche. C’est pas vrai. Bon je vous emmène ? Je pense que je n’ai pas trop le choix. Son regard se posa sur ma jupe fendue. Je mis ma main pour me cacher. Sortis de la voiture, tout en essayant de cacher ma jambe et, m’installa dans le camion du jeune homme. Au faite, je suis Aiden et, vous ? C’est loin le centre ville ? Dix minutes. Très bien.
La panique me gagna. On n’est pas dans le centre-ville là ! Non, on est chez moi. Hein ? Pourquoi ? Je vais vous prêter des vêtements et, des chaussures, parce qu’avec votre talon pété et, votre jupe de cagole, vous risquez de choquer les habitants. PARDON ??? Une jupe de quoi ?? Il se mit à rire et, je compris que c’était une blague. Je ressortis de la salle de bain dix minutes plus tard, un cardigan en laine bleu, un jean une taille trop grande et, des bottes en plastiques à fleurs. Je contemplais mon reflet à travers une vitrine dans le couloir et, fit une mine de dégout. C’est à qui ça au juste ? Votre grand-mère ? A ma femme. Et, elle suit un peu la mode ? Elle lit des magasines, genre vogue, cosmo ? Pas depuis qu’elle est morte il y a cinq ans. Ma carapace craqua un peu. Oh, Aiden, je suis. Désolée je sais. Bon, allons à mon garage en ville et, on ira manger un truc. Je le suivis sans un mot. Il regarda ma voiture un long moment et, revint me voir. Le moteur est fichu et, avec le dôme, je ne pourrais pas en avoir un autre avant … Il sembla réfléchir. Merveilleux. Répondis-je sarcastique. On se dirigea ensuite vers un restaurant de la ville. Il commanda pour moi un hamburger. Voilà des années que je n’avais pas mangé cela. A New-York, je ne mangeais que sainement et, j’étais même devenue végétarienne. Mais il fallait bien que je mange non ? A la première bouchée, je me demandais déjà comment j’avais pu m’en passer et, surtout pourquoi j’avais arrêté ? Vous avez l’air de vous régaler. Je reposais le sandwich, un peu honteuse de me montrer ainsi. Il sourit. Je le regardais pour la première fois et, je me rendis compte qu’il n’était pas si mal. Pour un type de la campagne, je veux dire. C’est Elena … Mon prénom. Enchanté Elena. Je souris à mon tour, pour la première fois de la journée. Et, vous alliez où comme ça ? C’était pour le travail. Je changeais rapidement de sujet.
Trois jours plus tard, j’avais récupéré ma petite valise, mais je continuais à porter certains vêtements qu’Aiden m’avait prêtés. Il m’avait assuré que cela ne le dérangeait pas et, je dois bien avouer que porter des vêtements plus détente, me faisais du bien. Je me sentais limite en vacances, enfermée dans ce dôme. Aiden, je ne vais pas faire ça. Je souris. Allez Elena, viens ! C’est marrant, tu verras. Non Aiden, je ne vais pas danser ce truc. Je me mise à rire. J’avais toujours trouvé ça un peu ringard, mais là j’avais plutôt peur de passer pour une idiote. Finalement, je me laissais convaincre et, ses amis dansèrent avec moi. Et, contre toute attente, je passais une très bonne soirée. En rentrant le soir-même, j’allais pour me coucher dans ma chambre quand j’aperçue Aiden en train de regarder une photo. C’était une photo de sa femme. Le plancher craqua sous mon poids. Aiden, je ne voulais pas te déranger, excuse-moi. Non, viens ce n’est pas grave. Je m’installais à ses côtés sur le lit. Elle est très belle. Elle te manque ? Tous les jours. Mais, ça va mieux de jour en jour. Je pris une profonde inspiration. Tu sais Aiden, je t’ai dis que j’étais de passage pour la travail ? Il acquiesça. En faite, mon père vit à une cinquantaine de kilomètre, j’allais à son enterrement. Une larme roula le long de ma joue. Il m’attira contre le lui et, me serra. Je suis désolé.
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